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plg
2016-07-18 19:33:39

Bonjour deheme,

Mieux vaut tard que jamais, alors je réagis à ton explication :-)

A- Automatiser la synchro côté Piwigo et la transformation Albums Physiques -> Albums Virtuels
[...]
B- Disposer d'un codage du nom des photos des tailles dérivées (comme lors des upload)

En gros, moi je comprends que tu réinventes ce que Piwigo a déjà implémenté :-/. In fine tu veux des albums virtuels avec des noms de fichiers comportant une partie aléatoire. Du coup, je te suggère de regarder ce que propose topic:26491

C- Disposer d'un mécanisme permettant de lancer de façon "calme", mais automatique, la génération des dérivées

En effet, comme tu l'imagines, tout se passe sur l'API. Regarde du côté de topic:24731 par exemple.

deheme
2016-06-03 17:23:43

Bonjour,
J'ai réussi à automatiser  (insuffisamment à mon goût) le traitement de mes photos jusqu'à leur présentation dans Piwigo.
Je me  propose de partager avec vous ici ce flux de traitement.
Toutes mes excuses par avance pour la longueur de ce post, le lecteur pressé, ira directement au dessin ci-dessous qui illustre les différentes  étapes.

1- Faire des photos
C'est quand même notre but à tous, que l'on oublie parfois quand on voit la part que prend le Matos dans les discussions ici ou là.

2- Vider ma carte mémoire sur mon PC et faire un pré-tri
Jeter, et ce n'est pas la tâche la plus simple, toutes les photos ratées ou sans intérêt. Le cas échéant, je fais ce travail sur mon lieu de vacances sur un portable.

3- Renommer toutes les photos à partir des exifs et classer les originaux
J'utilise un format identique pour toutes les photos : 
AAAAMMJJ-HHMMSS_Nom_de_l_evenement.raw (raw= nef,raf, ...)
Depuis peu, je suis long à comprendre, j'enlève tous les accents et caractères spéciaux et tous les blancs. Ça m'embête un peu, on est au 21e siècle, mais  finalement ça offre plus d'avantages que d'inconvénients. Surtout quand, comme on le verra ci-dessous, je transporte mes photos dans différents  environnements sous différents OS.
Je classe mes RAWs dans des répertoires annuels par évènements datés
AAAA
   |_AAAAMMJJ_Nom_de_l_evenement
           |_AAAAMMJJ-HHMMSS_Nom_de_l_evenement.raw
           |_AAAAMMJJ-HHMMSS_Nom_de_l_evenement.raw
Il y a quelques redondances, mais ça permet de toujours s'y retrouver.

4- Géotaguer les photos
A partir de traces GPS, ou de mes souvenirs. J'utilise la plupart du temps Geosetter

5- Transformer mes RAWs en Jpeg (développement)
Ces Jpegs sont stockés dans un autre répertoire, qui suit le même schéma que celui des RAWs avec les mêmes noms de photos. A cette étape aussi, j'essaye de finaliser le tri.

6- Automatiquement le résultat est synchronisé avec le disque dur du NAS
Un peu à la manière d’une synchro cloud sauf qu’ici, entre le PC et le NAS, il y a un câble 1Gb, cette synchro est donc très rapide.
Automatiquement aussi, mon NAS qui comporte un logiciel photo génère toutes les dérivées pour permettre un accès local ou distant. Distant, inutilisable dans mon cas  à cause d'une bande passante insuffisante.
6bis - Sauvegarder les photos sur des disques durs grâce au logiciel Syncback (j’ai un disque différent pour les raw et pour les jpegs)
J’ai arrêté les sauvegardes sur DVD/CD, car on dit qu’ils ne sont pas fiables (est-ce une erreur ?). Étant donné le prix des cartes mémoires, j’envisage à terme de juste     garder les cartes mémoires pleines ( ?).
6ter - Lancer Picasa (Aie! je sais c'est pas bien) qui synchronise mes photos.
Même si ici, nous essayons tous de nous en passer, il faut bien admettre  que les grands hébergeurs de photos  ont une dynamique et un mode de présentation de nos précieuses œuvres très attrayant.

7- Automatiquement le NAS assure la synchronisation avec le stockage chez mon hébergeur
Il est important ici de dire que mon NAS tourne en permanence (faible consommation) et que la synchro, même si elle est lente à cause de la vitesse de voie montante de  ma box ADSL, n’est plus une restriction. De plus, je synchronise les tailles originales des photos (soit env 10Mo/photo), mais ça me permet de partager aussi ces vrais originaux le cas échéant.

8- Synchroniser Piwigo
En réalité,  j'ai plusieurs instances Piwigo chez mon hébergeur chacune étant "reliée" à mon répertoire qui contient les jpeg par un lien symbolique  (SymLink)
Attention, ici le travail doit être fait par étape car les hébergeurs mutualisés limitent généralement, plus ou moins drastiquement, la puissance CPU/ la mémoire disponible. Mon NAS, qui fait ça aussi (voir 6) est long à le faire mais il dispose surement d’un mécanisme d’étalement de la charge et ne se plante jamais (il faut dire aussi que je suis seul à l’utiliser !).

9- Créer les albums virtuels Grace au plugin Physical2Virtual et affecter les droits
Au début j'utilisais aussi les droits sur les photos pour discriminer la vue que peuvent avoir les différents utilisateurs, mais je me perdais souvent (toujours?) entre les droits albums et les droit photos (ce sont pourtant à mon avis des  fonctions puissantes qui gagneraient à être mieux comprises – ou simplifiées). Maintenant, quand je veux des albums avec une visibilité différente selon les utilisateurs, je fais deux albums virtuels.

Ce qui me manque :

A- Automatiser la synchro côté Piwigo et la transformation Albums Physiques -> Albums Virtuels
Par exemple sur détection d'un changement sur les photos (qui sont au bout de mes symlink je le rappelle), éventuellement faire ça la nuit (on peut penser que la nuit les serveurs mutualisés sont moins chargés.  Prévoir un mécanisme de reprise (ou de répartition) en cas de "blocage" de la charge.

B- Disposer d'un codage du nom des photos des tailles dérivées (comme lors des upload)
Apparamment, ce mecanisme de "protection" (relative) n'est pas disponible quand on  utilise la méthode dite "synchro ftp".

C- Disposer d'un mécanisme permettant de lancer de façon "calme", mais automatique, la génération des dérivées, sans attendre qu'un utilisateur vienne  visiter mon site.

Je suis persuadé que c'est faisable, mais je ne suis pas assez compétent pour le faire, et je n'ai pas les ressources pour le faire faire ;)  (je n'arrive pas à me figurer comment utlisiser les APIs,  et les Tâches Cron alors que c'est là qu'est la solution, j'en suis sûr) :
Alternativement, il est envisageable d'avoir une appli sur le NAS (qui comprend déjà des tonnes d'applications natives ou tierces)  qui se chargerait de  synchroniser automatiquement avec piwigo via l'API upload, mais ça c'est encore une autre paire de manches. L'interet du NAS, vous l'avez compris est un fonctionnement  complétement transparent.

Je suis preneur de vos expériences et bonnes pratiques pour améliorer ma façon de faire, peut être vos trucs et astuces, qui vous paraissent triviaux mais qui pourraient aider certains d'entre nous.

Mais avant tout :
Amusez-vous!
DéHème


Version de Piwigo : Piwigo 2.8.1
Environnement :      Système d'exploitation: Linux
PHP: 5.5.35 (Montrer les informations) [2016-06-03 16:57:46]
MySQL: 5.5.49-37.9 [2016-06-03 16:57:46]
Bibliothèque graphique: ImageMagick 6.7.2-7
Base de données : 27957 photos / 1002 albums dont 483 physiques et 519 virtuels (56932 associations)

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